
Sorius : Peux-tu nous raconter un peu ton histoire avec le vélo ? Comment t'es-tu lancé ?
Samuel : À l'origine, je suis un passionné de foot. Mais après une rupture des ligaments croisés, ça a été compliqué. Pour ma rééducation, j’ai commencé le vélo, et depuis, je ne m’en suis plus séparé !
Sorius : Comment Sorius a changé ta façon de t'entraîner ? Tu ressens quoi de différent ?
Samuel : Je me suis vraiment intéressé à l’entraînement il y a seulement trois ans, après un défi entre potes. Je ne voulais pas finir dernier de la bande, alors j'ai pris un entraîneur qui m'a initié aux capteurs de puissance et aux watts. C’était bien au début, mais difficile à concilier avec ma vie personnelle, surtout avec mes trois enfants ! Mon programme ne prenait pas en compte cette réalité. Puis, au printemps dernier, j’ai découvert Sorius, plateforme rapide, simple, et surtout adaptée à mes besoins. J’ai tout de suite accroché, notamment avec le suivi des sensations. Voir ma jauge monter et descendre selon mes phases, c’est un vrai indicateur pour moi. Ce que j’apprécie le plus avec l’app, c’est que j’apprends à mieux me comprendre.
Sorius : T'as un souvenir marquant avec ton vélo ? Une histoire qui t'a marqué ?
Samuel : Oui, j’ai un souvenir mémorable ! Il y a deux ans, j’ai participé à l’Étape du Tour, mais j’ai fini complètement en fringale. Je voyais des étoiles, j’avais en tête que des poulets et des frites… C’était le résumé de ma dernière montée ! À 200 mètres de l’arrivée, je me suis arrêté pour discuter avec un copain qui m’a passé des barres de énergétiques. J’étais vraiment mal en point, d'ailleurs ce jour-là, beaucoup ont abandonné… Et le pire, c’est qu’à la fin, je suis redescendu en vélo vers la voiture, garée en bas, pensant avoir terminé. Une fois là-bas, j’ai réalisé que je n’avais même pas franchi la ligne d’arrivée ! Maintenant, je fais attention.
Sorius : Et pour la suite, t'as quoi en tête comme défi ou objectif ? Tu penses que Sorius peut t'aider comment ?
Samuel : Je me prépare pour l’Étape du Tour ! J'habite dans le Cher, donc ce n'est pas l'idéal pour s’entraîner en montagne. Mais après avoir consulté les coachs sur l'app et avec l’aide de Zwift, ils m’ont dit qu’on pouvait s'en sortir avec ce qu’on a. Donc, ça se précise !
A mon dossard maintenant !
Samuel L.