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Les bonbons Haribo sont souvent un choix populaire parmi les cyclistes juste après avoir franchi la ligne d'arrivée d'une course ou d'une longue sortie. Ce choix peut sembler surprenant, mais il est basé sur des raisons nutritionnelles et physiologiques bien fondées.


Recharge rapide en glucides


Après un effort intense, les réserves de glycogène musculaire et hépatique sont considérablement réduites. Les glucides sont essentiels pour reconstituer ces réserves rapidement. Les bonbons, riches en sucres simples, fournissent une source rapide de glucides facilement assimilables. Cela permet de reconstituer les réserves de glycogène épuisées, de prévenir la fatigue post-exercice et d'accélérer la récupération.


3, 2, 1 récupération immédiate


La fenêtre métabolique, qui se situe dans les 30 minutes suivant l'effort, est le moment idéal pour consommer des glucides afin de maximiser la récupération. Pendant cette période, les muscles sont particulièrement réceptifs à l'absorption des nutriments. Consommer des bonbons immédiatement après l'arrivée permet d'optimiser l'absorption des glucides, aidant ainsi les muscles affamés à commencer le processus de récupération rapidement. Cela réduit également le catabolisme musculaire en fournissant de l'énergie rapidement.


Plaisir dans ta tête


Les bonbons Haribo ne sont pas seulement efficaces d'un point de vue nutritionnel, mais ils sont également pratiques et agréables à consommer. Le plaisir de manger quelque chose de sucré et savoureux après un effort difficile peut également servir de motivation et de récompense, contribuant au bien-être mental du sportif.


Conclusion


Les bonbons Haribo ne sont pas seulement une friandise, ils jouent un rôle stratégique dans la récupération des cyclistes après un effort intense. Leur richesse en sucres simples permet une recharge rapide des réserves de glycogène, optimisant ainsi la récupération musculaire. Leur praticité et leur goût plaisant en font un choix populaire parmi les sportifs, illustrant parfaitement l'équilibre entre plaisir et performance. En intégrant des bonbons dans leur routine de récupération, les sportifs peuvent bénéficier d'une source rapide et efficace d'énergie tout en se récompensant après un effort ardu.

Sorius : "Peux-tu nous raconter un peu ton histoire avec le vélo ? Comment t'es-tu lancé ?"


Frédéric : Le vélo pour moi, c’est venu sur le tard. J'ai eu une carrière professionnelle très prenante, en tant que dirigeant d'une grande entreprise, et je me suis mis au vélo il y a cinq ans, à l’occasion de mes 60 ans. À l'époque, je ne faisais pas beaucoup de sport, et c’est mon fils qui m’a offert un vélo pour qu'on puisse rouler ensemble. Je m'y suis mis, et depuis, je suis complètement accro, je regarde toutes les courses à la télé et je prends la route dès que j'en ai l'occasion au grand désespoir de ma femme !


Sorius : "Comment Sorius a changé ta façon de t'entraîner ? Tu ressens quoi de différent ?"


Frédéric : Au début, je dois dire que je ne comprenais pas bien l’application. C’était l'année dernière... Mon fils faisait des exercices avec, et il m'a dit : "Essaye, ça rend les sorties plus attractives, et c’est adapté à ton niveau." J’ai testé, et franchement, je n’étais pas convaincu au départ. Mais à force de persévérer, j’ai vu mes ressentis changer et mon niveau s’améliorer. Les exercices sont devenus une habitude, et j'ai vraiment progressé. Maintenant, le dimanche, je suis plus à l’aise dans le groupe des copains, et ça, ça me plaît. J'adore essayer de les battre !


Sorius : "T'as un souvenir de fou avec ton vélo ? Une histoire qui t'a marqué ?"


Frédéric : Des souvenirs, j’en ai quelques-uns, mais celui qui me fait le plus rire, c’est mes débuts avec les pédales automatiques. Au départ, je n’arrivais pas à enclencher mes cales, et du coup, je me cassais la figure régulièrement aux feux rouges, la honte ! Une fois, on s’était arrêté pour boire un coup avec les copains, et je suis parti chercher des flans pour tout le monde. En revenant, j’ai glissé à cause des cales… et les flans se sont transformés en Flamby, si vous voyez ce que je veux dire !


Sorius : "Et pour la suite, t'as quoi en tête comme défi ou objectif ? Tu penses que Sorius peut t'aider comment ?"


Frédéric : Et si je me lançais dans l’étape du Tour ? Je suis capable de faire 180 km correctement, du moins à une allure modérée, alors j'attends de voir le futur parcours pour étudier ça de plus près. J'ai l'abonnement premium, donc je demanderai aux coachs ce qu'ils en pensent. Ce serait un bel accomplissement pour moi, le novice de dernière minute. Si j’y arrive, ce sera vraiment une fierté personnelle. En tout cas, j’encourage tout le monde à pratiquer une activité physique, c’est du bonheur, et ça apporte une incroyable satisfaction, peu importe le niveau !


Merci à toute l’équipe de Sorius !


Frédéric Q.



La marche active, souvent sous-estimée par les sportifs, offre une multitude de bénéfices, surtout durant les intersaisons, les périodes hivernales et les moments de fatigue. Intégrer des sessions de marche peut non seulement diversifier l'entraînement, mais aussi apporter des avantages physiologiques et psychologiques considérables.



1. Une alternative en période hivernale pour les cyclistes


Pendant l'hiver, les conditions météorologiques difficiles comme le froid, la neige, et la pluie rendent parfois les sorties à vélo dangereuses et inconfortables. La marche devient alors une alternative accessible et sûre pour maintenir un niveau d'activité physique. Elle permet de continuer à travailler l'endurance sans les risques associés aux routes glissantes ou aux températures extrêmes.



2. Un remède contre la fatigue


Le surentraînement dans le sport peut mener à une fatigue musculaire et mentale importante. Incorporer des périodes de marche, surtout lorsqu'on ressent une lassitude du vélo, aide à briser la monotonie et permet au mental de récupérer. La marche sollicite différemment les muscles, offrant ainsi une forme de récupération active bénéfique pour les cyclistes épuisés.



3. Les bienfaits des longues marches en altitude


Prendre un break de quelques jours pour effectuer de longues marches en altitude, avec du dénivelé positif (D+), peut être extrêmement bénéfique. Ce type d'exercice aide à casser les fibres musculaires, stimulant ainsi une reconstruction musculaire plus forte et plus endurante. L'entraînement en altitude augmente aussi la capacité aérobie grâce à la meilleure utilisation de l'oxygène par l'organisme, un atout majeur pour les sportifs.


Toutefois, les cyclistes doivent être attentifs à leurs chevilles et genoux, souvent fragiles. La marche, bien que moins intense que le cyclisme, peut exercer une pression différente sur ces articulations. Il est donc important d'adopter une bonne technique de marche, de choisir des chaussures adaptées et de commencer progressivement pour éviter les blessures.


En résumé, intégrer la marche dans l'entraînement offre une variété d'avantages. Elle constitue une excellente alternative en période hivernale, aide à combattre la fatigue due à un surentraînement, et améliore la performance globale par le biais de longues marches en altitude. Néanmoins, une attention particulière doit être portée aux articulations pour prévenir toute blessure. Ainsi, la marche se révèle être un complément précieux pour les cyclistes cherchant à diversifier leur entraînement et à optimiser leurs performances.


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