Sorius : "Peux-tu nous raconter un peu ton histoire avec le vélo ? Comment t'es-tu lancé ?"
Rémy : "Mon histoire avec le vélo est presque une affaire de famille. Mon père était coureur régional, et depuis tout petit, je baignais dans cette ambiance de course de village. Tous les étés, on ne manquait jamais une étape du Tour de France à la télévision. C’est d’ailleurs en 1997, lors du passage du Tour au col d’Azet, que j’ai ressenti pour la première fois cette passion dévorante pour le cyclisme. J’avais 14 ans, et je me souviens encore des frissons en voyant la ferveur autour de Richard Virenque. C’était un moment magique qui a marqué ma jeunesse.
C’est peu après cet événement que j’ai décidé de me lancer moi aussi. À 15 ans, j’ai intégré mon premier club et j’ai commencé à participer à mes premières compétitions. Au début, ce n’était pas facile. J’avais du mal à me sentir à l’aise dans le peloton, j’avais peur de frotter, et de tomber mais la passion était plus forte que tout. Mon rêve, comme beaucoup de jeunes coureurs, était de passer pro, mais la vie en a décidé autrement."
Sorius : "Comment Sorius a changé ta façon de t'entraîner ? Tu ressens quoi de différent ?"
Rémy : "Après quelques années de compétitions, le rêve de devenir pro était terminé. J’ai pris un autre chemin, celui des études, et je suis devenu un peu fêtard, ce qui m’a éloigné des courses et des entraînements sérieux. Mais même pendant ces années-là, je n’ai jamais complètement abandonné le vélo. C'était dans mes gènes, quelque chose d’ancré en moi ! Comme mon père, je faisais les courses de village…
Il y a un an, j'ai découvert Sorius, et ça a complètement changé ma façon de m’entraîner. Ce qui m’a tout de suite plu, c’est la flexibilité des programmes. Sorius s’adapte à ma vie, à mes contraintes professionnelles, et à mes disponibilités. Les exercices sont variés, bien pensés, et surtout, ils m’ont permis de progresser physiquement de manière régulière. Je suis devenu un vrai pro-Sorius ! Grâce à l’application, j’ai retrouvé une rigueur dans mes entraînements, tout en prenant du plaisir à rouler."
Sorius : "T'as un souvenir de fou avec ton vélo ? Une histoire qui t'a marqué ?"
Rémy : "Mon plus beau souvenir à vélo, c’est sans doute celui où j’ai rencontré ma femme. C’était lors d’une course régionale à laquelle je participais. Ce jour-là, la météo était capricieuse, je me souviens qu'il pleuvait, et les conditions étaient assez difficiles. Malgré tout, j’étais concentré sur ma course, déterminé à faire une belle perf.
À un moment de la course, dans une montée particulièrement raide, j’ai aperçu une jeune femme au bord de la route qui encourageait les coureurs. Elle avait un sourire qui m’a tout de suite attiré. À chaque tour, je la regardais, et en même temps, ça me donnait un coup de boost. Après la course, que je n'ai pas gagné, je suis parti la voir, on a commencé à discuter, le début d'une belle histoire. Aujourd’hui, elle est devenue ma plus grande supportrice sur le bord des routes à me passer les bidons. Ce souvenir est ancré en moi, non seulement parce que j’ai rencontré celle qui allait devenir ma femme, mais aussi parce que ce jour-là, j’ai compris que le vélo, c’était bien plus qu’un sport pour moi, c’était un lien qui allait me conduire ma vie."
Sorius : "Et pour la suite, t'as quoi en tête comme défi ou objectif ? Tu penses que Sorius peut t'aider comment ?"
Rémy : "Mon prochain grand objectif, c’est de gravir le Mont Ventoux. Je ne l’ai jamais fait, et c’est un défi que je me suis lancé : atteindre le sommet en moins d’1h15. C’est ambitieux, je le sais, mais je me sens prêt à relever ce challenge. Je sais que si je suis assidu aux entraînements Sorius, je suis convaincu que je peux y arriver. Les entraînements spécifiques, les conseils des coachs, tout est mis en place pour que je puisse y arriver !
Remy J.
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